Vous ne le savez peut-être pas, mais alors vous n'êtes vraiment Pas leste "in",
mais il y a une question que tout le monde se pose: Nettan y'est où
?
Las de rester dans l'ignorance qui n'augure qu'un avenir Mossad, je
décide de partir en reportage sur la terre promise. Avant de partir, je
m'envoie un dernier verre, pour la route.
Un ricard Sinai rien. Après
tout, Sinai, Anis, on est pas à une anagramme d'alcool près....
D'ailleurs je me
demande si Mordechai aime les sucettes, les sucettes du Sinai...
Mais je
m'égare, sur le parking de l'aéroport Ben, sans me Gourion ...une
gageure.
Là, une charmante hôtesse sortie d'une couverture de
SAS, en tailleur Vertsace camouflage, m'explique les bons Uzi-ages lorsque l'on
est reçu par le Premier Sinistre.
Tout d'abord, me dit d'elle en anglais,
sentant que je ne parle qu'un brin d'hebreu, et encore pas de la bonne.., il
faudra passer au détecteur de Nazeaux. C'est comme le détecteur de métaux, mais
pour les Nazi, qu'ils ont toujours dans le nez.... J'en profite pour parfaire
ma grammaire: un Nazi, des Nazeaux...c'est noté.
Nous montons dans une
jeep canon, au sens propre, mais défigurée. Hélas, arrivés a l'étoile, le
moteur tourne David. La caisse noire cachée sous le capot bloque le
système. Rien de grave, juste un problème de fric-sion, me dit mon hôtesse de
l'air force. Un coup de cricstein, nom d'un joueur de tennisrael célèbre pour
ses revers de fort thune, et nous voici reparti.
Nous traversons
Jérusalem, en roulant comme une bombe, histoire de nous fondre dans le paysage,
assez dépouillé.
Une fois les Nazeaux dégagés au Vix Vaporubinstein,
histoire de ne pas finir au violon, Monsieur le Premier Sinistre me reçoit en
grande pompe, il chausse du 44, c'est dire le calibre du
bonhomme.
Toutefois, je m'inquiète de son teint peu hâlé, loup il y
a...
Il m'explique qu'il est en effet quelque peu indisposé par
un désordre au niveau du colon...
Il me confie être un peu Azymuté et
m'avoue qu'il Hamas un sacré retard dans son travail, et ne peut m'accorder que
quelques instants.
Je l'assure que je ne compte pas occuper son territoire
plus qu'il n'est nécessaire, et que je n'ai qu'une question: à quand la paix
des cousins du Moyen Orient ? Ces moustiques typiques et sémites étoilées qui
se piquent de le savoir, et qui usent de leurs joujoux extra qui font crac boum hue
depuis trop longtemps !
Il me répond qu'il n'est pas un va t'en guerre,
un shalehomme, David de conquête, mais que depuis qu'il gère la Shoase publique,
le monde s'est considérablement compliqué.
Certains, dans ses propres
rangs, menacent de faire cesser-sion, lui qui affiche plus d'un printemps,
respectent les arabes, il a même fait dresser un monument aux Maures, près du mur
d'Ali-ment-a-Sion, l'épicier beurbeurres périmés.
Le grand homme fut prit d'une
quinte-essence de toux inflammatoire. Pour éviter d'avoir l'air beth et rester
Dinh, il s'éclipsa derrière un para-tsahaleil, habillé comme mon hôtesse
kash'air.
Je pris congé en lançant un shalom et shalfemme que je
voulais paritaire, mais je parie que me taire aurait été de bon Saint-aloi.
De retour dans ma casebasse Paname'ene, je me sert un double canon
d'Uzi, un Uzo donc...en me disant que la résolu-sion du conflit Israélo-palestinien ne tient finalement qu'à un soin du colon et à une diminu-sion des
dossiers qui s'Hamas.
La santé et le rythme de travail sont des
revendica-sion vieilles comme Job.., et inscrites dans l'étable de la loi par un
certain Rhésus, positif, d'après sa dernière prise de sang. Hélas, le syndicat
des patrons de l'époque, le Medeath, l'avait déjà cloué au
pilori...
Bis repeti-sion...
Décrispez vos zygomatiques ! Articles humoristiques soulignant par de subtils jeux de mots l'aspect absurde de l'existence. Contractez une saine addiction au Dergroodtisme aigu et à l'esprit critique. Littérature et Polars vous y aideront, au travers des critiques et des ouvrages ciblés commercialisés sur le Badblogclub. Découvrez aussi les dernières tendances sociétales et les quartiers de Paris.
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire
Le commentaire, c'est comme l'alcool, c'est avec modération.