Vous
ne le savez peut-être pas, mais si vous le savez, vous plantez les choux, à la
mod-hic somme de ce blog, et vous buvez un coup en attendant que cela se passe.
De
naguère las, à cause de films historiques qui me laissent le palpitant brouillé,
je décide de partir aux enfers, pour en avoir le cœur net. J’organise une petite visite posthume à l’auteur du
titre Shoah, un hit l’air de rien.
Je
contacte l’agence de voyage Trans-pire National
Fronthier, spécialisée dans les voyages vers les pires destinazion d’autrefois.
Là, j’ai à Pen annoncé mes intentions, qu’un agent de voyage avec la moitié de
la face cachée, me propose le Dolph Lune Graine, un voyage futuriste écologique
vers les origines de la force du houx blond. Je décline poliment, et demande à l’agent un
peu plus de conzentration…
En un
clin d’un seul œil, il me propose divers
trains pour l’Est d’Enfer, à réserver en ligne. Des trans-cyber-ariens qui mènent
droit au bunkerh, le mas breton d’Adolph, leader du groupe des petits chanteurs à la croix de fer. L’agent
me précise toutefois que je dois me décider vite, car en ce moment, ces voyages
font Führer.
Pour
ne pas le faire Mariner trop longtemps, je réserve un billet dans un ersatz
gruppe, un simulacre de voyage organisé, qui comprend un guide et un bâton de
Maréchal, emprunté à Marion, qui Pen à jouir de son statut d’employée des
moyens généraux. L’essentiel du tarif ne tient Arien, mais cela coûte quand
même un œil. Il faut bien que l’agent de voyage se venge.
Me
voici embarqué avec mes compagnons d’un fort thune, et two for tirer cela au
clair. Curieusement, le voyage ne se déroule pas à un train d’enfer. Le tortue-iard,
serpente lentement en émettant un coassement nazillard. Les aéra-Sions obstruées,
la chaleur épouvantable me rappelle quelques documentaires d’Arte finalement
assez réalistes, et ma dernière séance dans un hammam qui failli me valoir un
zona.
Quelques
jours plus tard, Ness et cités faisant loi, nous arrivâmes en Loc. « Etuviens ! »
me cria le guide, « On va prendre une douche avant de rencontrer La 3 ème
star la plus Reich de l’au-delà. »
« Ici on rase gratis » annonce le panneau sur la porte des bains-louches, pas très branchés. « Ne t’inquiètes pas pour la cauterisa-Sion si tu te coupes, nous avons de la gaz, avec des produits dezinfectants d’enfer !" Ayant déjà vu le film, et persuadé que le panneau sur la porte du baraque ment, je fais une toilette de chat, et je demande à rencontrer Adolphe Vitel’heur, tourne !
« Ici on rase gratis » annonce le panneau sur la porte des bains-louches, pas très branchés. « Ne t’inquiètes pas pour la cauterisa-Sion si tu te coupes, nous avons de la gaz, avec des produits dezinfectants d’enfer !" Ayant déjà vu le film, et persuadé que le panneau sur la porte du baraque ment, je fais une toilette de chat, et je demande à rencontrer Adolphe Vitel’heur, tourne !
De but
et blanc comme un linge excepté un bout de moustache, Le dictateur m’annonce
que lui non plus n’est pas Charlie, Chaplin. Il m’explique que Shoah est un
titre banal, dont il s’étonne du succès si durable. Lui ne s’en préoccupe plus
depuis longtemps, il a bien d’autres responsabilités aux enfers. Je lui accorde
qu’on ne peut pas être aux fours…et au moulin à parole en même temps. A moins d’avoir
le don du biQuinte, c’est la capacité à miser sur deux courses de chevaux en
même temps.
Le Führer à un ongle réincarné, et il grimace tout en me racontant la paradoxale gène
aise de Shoah. Au départ, l’idée était simplement de chanter sur l’envie de
nettoyer, et de purifier la zone allemande paupérisée et délabrée dans laquelle
il résidait avec son groupe, les 4 nazmis, Goerringostar , Geuledeboeuf,
Hermann Peau-de-Fhesse et lui-même, Führer-de-vivre.
Le titre raconte simplement comment les 4 ZAC-Ariens pensent nettoyer le ghetto berlinois, en le débarrassant du Suif, qui le noircit.
Hélas,
le jour où il est monté sur l’estrade pour éructer son titre, il était
quelque peu enroué et dopé, avec lahaine pas fraîche. Du coup, le mot Suif fut mal interprété, tout comme l’entrain d’enfer avec lequel il fit son con-certes ! La machine s’est ensuite emballée, et le succès à dépasser ses attentes. Il n’a
plus rien contrôlé, sauf les guestarpo, pour les featuring, et les costumes de
saines rigolades, commandés au célèbre couturier Karl Vertdegris.
Au zénith de sa gloire, Il s'est également fait construire quelques salles de concert, Birknow, Cirkenhaussen, dans lesquelles il a fait quelques tournées très chaudes. En général, les fans, qui étaient décents haine, qui étaient des millions, ne s'évaporaient, qu'à la tombée de la nuit...
Très
sociable, le Führer me propose de rester Zouper dans son Bunkher. Il a concocté un Baden-Baden truffé aux quenelles
à tomber raide, et Eva a fait des Brawn-ies. Peu satisfait par son
explica-sion, je lui dis que je préfère rester sur ma fin, celle des reportages
d’Arte, et je prends congés, bien décidé à utiliser mon Typex pour tirer un
Traitblanka rément définitif sur son titre dans ma playlist.
Auchwitterzehn !
Aboie t-il gaiement, le bras tendu semblant désigner le velux comme étant la sortie
la plus proche. Le hit l’air de rien, moi, cela me laisse froid. En plus il ne
fait pas Shoah cette époque de l’année.
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